Le seul probleme avec Luang Prabang, c.est que c'est dans une vallee et que, dans n'importe quelle direction, il faut monter pour la quitter. Donc, nous decidames, pour une fois, de prendre le bus. De plus nous etions un peu faible apres le parcours de montagne precedent et une gastro. Ce fut en fait un tres bon choix car les premiers 100 kms des 180 etaient.... de la montee quasi non-stop. Et le voyage en minibus a travers les montagnes du Laos etait une bonne experience.
We made it to Udomxai - a hazy town at the crossing of 4 main roads and, thankfully, found rather a comfy guest house for what was to be a surprisingly long stay - surprising in that most people spend just a few hours in Udomxai, and we spent a few days, involuntarily locked in our room due to upset tumies with the telly and bottle of rehydration drinks... Before our confinement, we met a couple of cyclists from China who put us to shame by carrying not only a tent and bedding, but a clay stove, rice and a steel coking pot. Ultimate cycle freedom!
Nous arrivames donc a Udomxai, une petite ville dans la fumee au croisement de 4 routes et trouvames un nouvel hotel plutot confortable avec salle de bain tres propre, ce qui fut de bonne vaine car nous finirent par rester a Udomxai, non pas quelques heures comme les autres voyageurs, mais 3 jours, a cause d'une gastro prolongee que nous avons choppe toutes les deux. 3 jours de tele (heureusement qu'il y a TV5 monde!) et des litres de solutions de rehydratation.
Avant cela, nous avions rencontre un couple de cyclistes chinois qui nous firent bien honte car ils ne transportaient pas seulement un sac a dos juste en equilibre sur le porte baggage, mais aussi une tente, un rechaud, des casseroles et un sac de riz?!
Avant cela, nous avions rencontre un couple de cyclistes chinois qui nous firent bien honte car ils ne transportaient pas seulement un sac a dos juste en equilibre sur le porte baggage, mais aussi une tente, un rechaud, des casseroles et un sac de riz?!
Zoomer sur la photo et vous verrez le joli pendentif du chinois ;-)
Once we'd had enough of the telly and Udomxai, we bit the bullet and the immodium and set off on the bikes for a 'short run' of 50km to the next 'town' - cue 20km up hill through soaring heat, dust, smoke and... roadworks
Finalement on ne peut regarder autant de tele et decidames de quitte Udomxai, les sacoches pleines d'Immodium pour ce qui devait etre une 'petite' etape de 50 kms pour la prochaine 'ville' etape. Sauf que les 20 premiers kms s'avererent etre de la montee, sous la chaleur, dans la poussiere et a travers d'importants travaux.
... a chance to develop a new cyclo-chic look...
...l'occasion de developer une nouvelle mode cyclo-chic...
... and realise that something useful came out of what I'd always considered to be a bit of a waste of world resources, NASA
... et de realiser que finalement quelque chose d'utile avait emerge de ce que nous avions jusque la considerer comme un gachis de ressources, la NASA
Just as we were about to lie down in the middle of the road to protest/stop the next pick up to ask for a lift, we received a message of hope from the Chinese road builders we'd been cursing all the way up hill...
Et alors que nous etions sur le point de nous allonger au milieu de la route pour faire greve et/ou arreter le prochain pick-up pour qu'il nous enmene, nous virent ce message d'espoir de la part da l'entreprise chinoise de travaux publics responsable pour ces interminables travaux...
... and the road finally started winding its way smoothly down on TARMAC! Yes, tarmac! We sang praises to Mr MacAdam. From now on, we will celerate the 21st of September (date of his birth) to thank Mr. John MacAdam for his great invention.
... et finalement la route commenca a descendre, ouf! Et quelle route: en vrai, en dur! Et oui! Super! Folles, nous nous mires a chanter des hymnes a mr. MacAdam. D'ailleur, depuis ce jour, nous feterons chaque annee le 21 septembre, jour de la naissance de mr. John MacAdam. Ah, ces ecossais!
Tarmac on quarried road - C'est grave docteur si on en arrive a prendre des photos de MacAdam??
So, we positively sailed down the mountain, through the 2pm apocalyptic haze and into the picturesque (!), one street dust-centre that was our stop for the night - Na Maw (think wild west with ashes raining down rather than tumbleweed, wary locals, more wary local dogs and you're almost there...). Comfy night thought and nice sticky rice with sugar in the morning :o)
Nous entamions donc la descente sous le soleil voile par les feux de 14h qui donne au ciel un air tres apocalyptique (Harriet, de peur, se cacha meme dans des tubes en beton) pour atteindre la petite ville poussiereuse de Na Maw. Dure a decrire... imaginez le far west avec des cendres qui vous tombent dessus sans arret, les cochons et poules et des habitants mefiants (tout comme les chiens qui nous aboyerent tous dessus) qui n'avaient sans doute jamais vu 'd'etrangers'.
We moved swiftly on after our night in Na Maw... as swiftly as the next 20km of road works allowed (oh yes, the smooth road of the end of yesterday's stage may well have been a dream!), made it pretty much to the Chinese border and onto the next road that was mercifully decked in tarmac and allowed us to arrive pretty much in one piece in Luang Nam Tha.
Ce fut donc hativement que nous quitames Na Maw le lendemain pour trouver.... une route en travaux! Avions-nous reve le MacAdam de la veille??? Apres 30kms, nous nous trouvames a seulement quelques kms de la frontiere chinoise, et prire direction ouest, sur une bonne route, pour Luang Nam Tha.
The route summed up Laos on our last day's cycling there.... rolling hills and misty views of distant moutains beyond, the haze of smoke from weeks of burning forests and farmland, mountain villages full of kids with smiles and waves for the sweaty falangs riding past and adults, some with smiles, some just too busy living to see what charges through their village on the only road through Laos. The remaining patches of forest are so rich, so cool, so full of birds and wild life - the sound of burning forest brings tears to my eyes, the popping of wood as if someone is setting off fireworks to celebrate the destruction of nature's hard work...
The route summed up Laos on our last day's cycling there.... rolling hills and misty views of distant moutains beyond, the haze of smoke from weeks of burning forests and farmland, mountain villages full of kids with smiles and waves for the sweaty falangs riding past and adults, some with smiles, some just too busy living to see what charges through their village on the only road through Laos. The remaining patches of forest are so rich, so cool, so full of birds and wild life - the sound of burning forest brings tears to my eyes, the popping of wood as if someone is setting off fireworks to celebrate the destruction of nature's hard work...
Ces 2 dernieres etapes resument un peu notre voyage au Laos: les montagnes a perte de vue et la brume quasi incessante due aux feux de foret, l'odeur de brule, les cendres, les gens des tribus de montagne en habits traditionels, les petites maisons en bambou tisse, les petits enfants dans les villages, les fesses a l'air, qui se ruent au bord de la route pour nous crier "Sabaide", les plus grands pour nous taper dans la main...ces enormes sourires et rires.
Les forets tropicales qui ne sont pas encore touchees sont si riche de vegetation, d'immenses arbres et de faune, et si fraiches. En contraste avec ces hectares de foret en train de bruler, tous les jours, pendant des mois, chaque annee. On en avait les larmes au yeux: un ecosysteme en train d'etre detruit sous nos yeux. Le bruit du bois qui brule, qui craque et claque, comme un dernier cri. La chaleur degagee, la fumee qui pique les yeux et asphyxie. Et les cendres qui volent et se deposent partout, qui recouvrent les villages, dernieres traces de cette foret centenaire.
Paddy fields in the afternoon haze
The last leg back to Thailand involved a bus... Sylv tested her head for heights, taking things in her hands to secure the bicycles on the roof, before we set off for a marathon slalom through the mountains back to the Mekong and the border. This is when we understood the truth of our Canadian cyclo-colleague's advice not to ride on the plastic bags on the edge of the road... all full of bus passengers' breakfasts and chucked out of fast moving windows - beurk! Nearly a quarter of the bus was sick. Adding to that, the regular Asian style throat-clearings and you have a full picture of the enjoyment of bus travels ;-)
Notre derniere etape se fit en bus. Sylvia due tout d'abord monter sur le toit pour bien attacher les velos et c'est parti pour un marathon en slalom de 160kms a travers les montagnes jusqu'au Mekong et la frontiere thailandaise. Et c'est lors de ce voyage en bus que nous avons enfin compris un conseil que deux cyclistes canadiennes nous avaient donne: "Au Laos ne roulez jamais sur les sacs plastiques sur la route". En effet, chaque passager du bus recoit un sac plastique pour....vomir! Il peut d'ailleurs en re-demander lors du trajet, il y a du rab avec le chauffeur. Fort heureusement car plus d'un quart du bus plein a craquer (on rajoute des chaises et tabourets en plastique au milieu pour mettre plus de monde) etait malade. Les sacs plastiques pleins sont alors passes aux passagers pres des fenetres pour etre envoyer par dessus bord sur la route. Rajoutez a cela le fameux nettoyage de gorge a l'asiatique et je vous laisse imaginer le confort de voyage.... finalement, vive le velo (tant qu'on evite les sacs plastiques bien sur)!
In Lao's buses, the central alleyway if filled with plastic chairs or tools to fit more passengers. We thought Nr.7 had died after we gave him a travel sickness tablet after his fifth filled plastic bag... and he started acted strange, needed hand massages from his grandma and
sort of collapsed/slept for the rest of the journey. But he left the bus OK at the end.
Nous avons peur d'avoir tue Nr.7 bleu: apres avoir rempli son cinquieme sac plastique, nous lui avons donne un cachet contre le mal de voiture. Juste apres il s'est mis a etre encore plus mal. Sa grand-mere se mit a lui masser les mains, on aurait dit qu'il allait perdre conscience. Mais ouf, il etait en vit a la fin du voyage.
We're now back in Thailand - land of 'Clean food, Good taste' signs and plastic wrappings... and riots in Bangkok :o(
Et nous voici donc de retour en Thailande, le pays du label "Nourriture propre, bonne nourriture", du plastique... et des violences a Bangkok :-(
Land of 'fun' and setting for daily dousings between now and the end of the week due to the national water fight that is Thai New Year - refreshing, and not and ASBO in sight!... We're getting back onto our feet thanks to the discovery of French anti-biotics in our medical cabinet (thanks Mylene!) and shed-loads of rice and Harriet even spent a day making herself a skirt yesterday on her first day off in a while, never an idle moment ;o)
Un pays ou il fait tout de meme toujours bon s'amuser et ou nous allons nous faire saucer regulierement jusqu'a la fin de la semaine car c'est le nouvel an: on se jette des seaux d'eau dessus a tous les coins de rue. Assez rafraichissant par 40 degC. On se remet sur pieds grace aux antibios francais trouves au fond de notre trousse medicale (Merci Mylene) et des tonnes de riz. Harriet a meme trouve le temps de se faire une jupe a partir d'un bout d'etoffe traditionel thailandais.
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Two little quizzes to celebrate the end of a long post:
Deux petits quiz pour feter la fin de cette longue entree:
A - The pharmaceutical marketing teams have too much time on their hands - any suggestions for other eye drop products to be added to the rangs?!
L'equipe marketing de ces entreprises pharmaceutiques ont ete bien imaginatives - d'autres idees de noms pour leur prochaines gouttes pour les yeux?
3 comments:
le n° 7 a l'air d'aller vraiment très mal, sur son beau fauteuil rouge... Si je comprends bien,les voyages en bus sont fortement déconseillés, au Laos.
Les sandales d'Harriet ont rendu l'âme ; je ne pense pas qu'on puisse lui recoller une nouvelle bride. Sa jupe est très jolie !
heuu pour les pubs en anglais c'est pas facile, alors je vais proposer :
EYE EYE EYE
et pour la sandale, béé c'est le crocodile qui a mangé le petit bout non ? sinon le velo ? sinon c'etait pour donner un souvenir à qqun ? ou alors c'etait un bout necessaire pour jouer les mac gyver ptet ... ????
bisous !! :) :)
j'en etait encore a 'eye see'... choutee, l'aie aie aie :o)
chaussure victime d'une attaque feroce par un chien tres chou mais un peu fou (heuresement, je ne les portatit pas pendant l'attaque!)... j'ai egalise le look depuis, pas mal! j'aurais peut etre du garder les bouts pour un moment de bricolage!
bisous xxx
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